La marque.

La relation entre l’homme et l’objet.

Depuis tous jeunes, nous n’avions assez de mots pour décrire la juste vision des choses renvoyée par les architectes et designers qui nous fascinaient. Ils s’appellent Dieter Rams, Charlotte Perriand, ou encore Tadao Ando ; ils nous ont donné la force de croire qu’à l’image du mobilier, de l’architecture, et de l’art de vivre en général, notre conviction à faire naître des objets meilleurs, centrés sur leurs utilisateurs du quotidien, pouvait changer le monde. Ils ont cassé les codes de domaines des plus traditionnels, nous croyons à la possibilité de nouveaux codes pour la maroquinerie.

L’intuition et la maroquinerie.

De cette inspiration des codes avant-gardistes du design et de l’architecture, est née la maroquinerie intuitive Le Feuillet. Ultime geste de l’interaction entre l’homme et l’objet, elle se vit comme une expérience raffinée, minimaliste, intimement personnelle. La réflexion sur les usages les plus contemporains donne lieu à de nombreux “portés”, une spécificité désormais emblématique de la marque. Nos objets de maroquinerie sont intemporels, tant dans leur conception que dans leur esthétique.

« Rendre possible une maroquinerie singulière, 
contemporaine, repensée par le design et les usages. »
 

Chez Le Feuillet, nous sommes convaincus que le luxe n’est pas celui qui s’expose, mais celui qui se vit. Notre combat de toujours réside dans la conception d’objets avec une personnalité affirmée, qui échappent au conformisme de la maroquinerie, malheureusement endormie dans un classicisme sans fin. Pour s’y soustraire, nos produits sont pensés à travers leurs utilisateurs, et ce que vous vivez au quotidien, des déplacements jusqu’aux journées de travail.

Comme aucun autre, l’objet de maroquinerie Le Feuillet se vit !

 

Notre responsabilité envers vous.

Plus qu’un argument marketing, la responsabilité environnementale et sociale est pour nous un combat qui ne peut laisser place à aucune forme de délocalisation, tant dans la pluralité des moyens de transports qu’elle suppose que dans le flou législatif qu’elle permet vis-à-vis des ateliers de production. Nos exigences nous conduisent aux circuits les plus courts, maîtrisés du départ à l’arrivée. Elles nous permettent de fabriquer à la main dans nos ateliers européens, et de proposer des services uniques, de la gravure sur cuir au suivi de l’entretien des produits ; confortant notre vision hors des codes classiques. Alors oui, la chaîne de valeur est autrement plus coûteuse, mais elle ne se construit pas au détriment de l’environnement ou des personnes, au contraire.